Sous le voile où les couleurs du soleil, les formes de la femme n'ont pas disparu. Elle seule peut choisir les mouvements de langueur ou d'épanouissement. Le photographe paré de ses instruments n'est que son serviteur. La beauté des corps domine, l'objectif se contorsionne, les lumières palissent ou éclatent d'orgueil mais le duel est inégal et vite terminé.